Carnaval

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Le carnaval de l’école d'après les petits.

 

Le vendredi après-midi, veille des vacances d’hiver, tous les enfants se sont déguisés à l’occasion de la journée du carnaval de l’école. Les parents se sont joints au défilé des enfants dans les rues du quartier.
De retour à l’école, nous avons brûlé Monsieur Carnaval, puis la journée s’est terminée par un goûter préparé et proposé par les membres de l’association de l’école: « l’éveil des trassouilles ».


Les enfants de la petite section ont participé à la fabrication de Monsieur Carnaval et de leur déguisement. Lisons leurs paroles.

 

J’étais déguisé en Winnie l’ourson. Mathys

J’étais déguisée en arc-en-ciel et en soleil,  Brigitte (l’aide maternelle) m’a maquillée en dessinant un soleil sur une joue et un arc-en-ciel sur l’autre. Mathilde. Moi aussi, et j’ai mis des arcs-en-ciel sur mes joues. Léana. Et moi, deux soleils sur les joues. Héléna

J’étais transformé en soleil. Nans. Et moi, en soleil et arc-en-ciel. Alaïs.
J’avais un arc-en-ciel sur une joue. Théo

Moi, j’étais en clown. Arko



Et toi, (le maître) tu étais en Papa Noël. Héléna
Thibault, en capitaine crochet, nous dit Clara.
J’étais déguisée en reine et en arc-en-ciel. Adriana
Et moi, en dalmatien. Hugo M.
Moi, j’étais déguisée en magicienne, et en plus j’avais une grosse baguette. Aléna

Je n’avais pas de déguisement parce que j’avais mal à la langue (obligé d’être soigné l’après-midi), sinon j’aurais été déguisé en sorcière. Hugo S

Le déguisement du soleil et de l’arc-en-ciel a été fait dans la salle de peinture. Ma petite sœur me l’a déchiré. Clara

Il y avait un bonhomme en carton (Monsieur Carnaval). Nous avons aidé le maître pour le fabriquer. Nans.

Les enfants ont rempli les cartons de boules de papier journal froissées, puis décoré le corps et la tête du bonhomme  avant de l’assembler.

 

On l’a brûlé. Alaïs et Clara.
C’est devenu tout noir. Nans
On a jeté de l’eau sur le feu pour l’arréter. Hugo M.

Je terminerai sur la note d’humour d’Aléna  qui nous dit : « heureusement qu’il y avait ce qu’il faut. »